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Sujet de Coraline, Laétita & Samira n°2.

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Message  Samira Lala. Mar 24 Mar - 18:48

L'ONU parvient-elle à préserver la paix dans le monde ?
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Message  Samira Lala. Mar 24 Mar - 18:53

Prévention des conflits et rétablissement de la paix
Les Nations Unies travaillent à la prévention et à la résolution des conflits meurtriers partout dans le monde ainsi qu'à la promotion d'une paix durable au sein des sociétés sortant de la guerre.

Le Département des affaires politiques joue un rôle central par rapport à ce travail: il suit et évalue les derniers développements politiques dans le monde; il conseille le Secrétaire général de l'ONU sur les mesures qui pourraient aider à la promotion de la paix; il fournit conseils et soutien aux envoyés et missions politiques de l'ONU sur le terrain; et il sert directement les Etats Membres par l'assistance électorale qu'il offre et par la participation de son personnel au travail du Conseil de sécurité et d'autres organes de l'ONU.

En remplissant ces tâches et d'autres fonctions essentielles, le Département contribue aux efforts de l'ONU partout dans le monde pour agir à toutes les étapes, de la prévention des conflits au rétablissement de la paix, à la consolidation de la paix après conflit.
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Message  Samira Lala. Mar 24 Mar - 18:54

Consolidation de la paix.
Construire une paix durable au sein de sociétés ravagées par la guerre est l'un des enjeux les plus intimidants à relever pour la paix et la sécurité internationales.

Dans ce domaine, les échecs sont coûteux : une nation émerge péniblement d'un conflit dévastateur pour retomber directement dans la violence. Les réussites nécessitent toujours que la communauté internationale appuie les efforts nationaux dans le plus de domaines possibles - surveillance des cessez-le-feu ; démobilisation et réintégration des combattants ; assistance au retour des réfugiés et des personnes déplacées dans le pays ; aide à l'organisation et à la surveillances de l'élection d'un nouveau gouvernement ; soutien aux réformes des secteurs de la justice et de la sécurité ; renforcement de la protection des droits de l'homme et encadrement du processus de réconciliation après les atrocités vécues.

L'ONU a été la première à oeuvrer pour la multiplication des efforts internationaux en matière de consolidation de la paix, qu'il se soit agi de vérifier les accords de paix en Afrique australe, en Amérique centrale et au Cambodge dans les années 90 ou de consolider la paix et de renforcer les états dans les Balkans, au Timor oriental, et en Afrique de l'ouest, ou encore de mener plus récemment des opérations en Afghanistan, en Haïti, en Iraq et au Soudan.

Après avoir reconnu que les Nations Unies doivent anticiper davantage les enjeux posés par les activités de consolidation de la paix et y répondre, le Sommet mondial de 2005 a approuvé la création d'une nouvelle commission de consolidation de la paix. Au sein du Secrétariat de l'ONU, la Commission doit être soutenue par un Bureau d'appui à la consolidation de la paix qui se servira de l'expertise des diverses et nombreuses entités de l'Organisation impliquées dans la consolidation de la paix, notamment de celle du Département des affaires politiques.
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Message  Samira Lala. Mar 24 Mar - 18:58

Rétablissement de la paix
Depuis sa création, l’ONU emploie des moyens diplomatiques pour prévenir et résoudre les conflits armés. Au sein du Secrétariat des Nations Unies, le Département des affaires politiques (DAP) est chargé d’identifier les opportunités de rétablir la paix et d’aider le Secrétaire général et ses envoyés spéciaux à apporter leurs « bons offices » pour essayer de négocier des accords de paix entre les parties en conflit.

Les activités de rétablissement de la paix de l'ONU ont fleuri dans les années 90 au moment de la fin de la Guerre froide qui a produit de nouvelles chances de mettre fin aux guerres civiles grâce à la négociation d'un règlement pacifique des différends. Un nombre important de conflits a été réglé soit par une médiation directe de l'ONU, soit par les efforts d'une tierce partie agissant avec le soutien de l'ONU. La liste des pays concernés inclue notamment le Salvador, le Guatemala, la Namibie, le Cambodge, le Mozambique, le Tadjikistan, Bougainville, l'Afghanistan, la Sierra Leone, le Burundi et le conflit nord-sud du Soudan.

De récentes études ont établi que la multiplication des activités de l'ONU en matière de rétablissement et de maintien de la paix ainsi que de prévention des conflits constitue un facteur important dans le déclin (40%) des conflits armés dans le monde depuis les années 90.

Renforcer les capacités de l'ONU
En dépit des accomplissements réalisés, la capacité de l'ONU en matière de rétablissement de la paix a besoin d'être renforcée pour pouvoir répondre aux demandes actuelles et saisir de nouvelles opportunités.

Dans son rapport de 2004, le Groupe de personnalités de haut niveau sur les menaces, les défis et le changement créé par le Secrétaire général a noté que les demandes de médiation et de « bons offices » adressées à l'ONU sont « montées en flèche ». Il a demandé à ce qu'il soit donné à ces activités des bases plus fonctionnelles et plus solides - notamment en changeant ce que le Groupe a appelé un manque de financement chronique du Département des affaires politiques.

Le Sommet mondial de 2005 a approuvé les efforts du Secrétaire général visant à renforcer sa capacité à exercer ses bons offices. Sous la direction du Département des affaires politiques, un travail est actuellement effectué pour concrétiser cette décision. Le Département prévoit de servir de centre d'expertise et de conseils sur la médiation pour l'ensemble du système de l'ONU ainsi que d'organe de liaison avec les tierces parties exerçant leur médiation et leurs bons offices auxquels les Nation Unies peuvent apporter leur aide et leur soutien.

Les améliorations envisagées incluent la création d'un système pour l'identification et le recrutement des meilleurs médiateurs qu'il soit ainsi que pour la formation de nouvelles générations d'envoyés. Davantage d'attention sera accordée au choix de formations et de directives appropriées ainsi qu'à la manière dont elles sont dispensées.

Les divisions régionales du Département devront être équipées pour être capables d'acquérir des connaissances sur les réalités politiques, culturelles et géographiques des situations de conflit ainsi que d'entreprendre le long travail qui leur permettra d'établir des relations de confiance avec les acteurs locaux et mener des interventions diplomatiques significatives. Le DAP devra être renforcé pour fournir un soutien administratif et logistique adéquate à un nombre croissant d'envoyés spéciaux et de médiateurs.

Enfin, en vertu des recommandations du Groupe, il a été décidé d'établir, au sein du DAP, un Groupe de soutien à la médiation (MSU) qui gardera en mémoire les expériences passées en matière de rétablissement de la paix et servira de centre d'échange des pratiques optimales et des enseignements tirés des missions. Le Groupe coordonnera aussi la formation des médiateurs et leur fournira des conseils sur les normes et les procédures en vigueur aux Nations Unies.

Les professionnels du rétablissement de la paix peuvent accéder à un outil Internet développé par le DAP. Le site Web des médiateurs de l'ONU* est en priorité destiné à aider les responsables du rétablissement de la paix et leur personnel à préparer une médiation permettant de parvenir à des accords de paix qui soient la première étape vers une paix durable. Le site est également utile aux partenaires de l'ONU travaillant au rétablissement de la paix dans le monde, comme les Etats membres, les organisations régionales, la société civile et les organisations non gouvernementales.
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Message  laétitia Mar 24 Mar - 19:02

Aujourd’hui, cette vénérable institution souffre en raison même de ce qui avait été son premier succès, cet accord réussi entre les cinq grandes puissances au lendemain de la guerre. Or, comme on le vérifie sans cesse actuellement au Proche Orient, le droit de veto dont dispose ses cinq membres permanents constitue l’élément essentiel de la prise de décisions politiques inéquitables.

On constate aussi l’instrumentalisation de l’ONU par certains de ses membres, l’un d’entre eux plus particulièrement, qui fait montre en son sein d’une volonté hégémonique, arrogante et impériale, alors que l’ONU ne devrait être qu’une organisation d’égale souveraineté

de tous ses états membres.

L’ONU, dans sa forme actuelle, est une institution figée dans ses vieilles structures et l’on peut se demander ce qui pourra la réformer pour la faire évoluer car, dans l’ensemble, les grandes puissances en sont satisfaites. Les Américains car ils y font la loi et les Européens car ils ne sont pour l’instant préoccupés que de la seule Europe ! Nos médias nous rapportent toutes ces décisions de l’ONU, bienvenues quand elles sont bonnes pour les USA, et pour le reste superbement ignorées, quand elles ne sont pas bafouées ouvertement..[/b][/b]
Nous sommes dans un monde qui se rétrécit de plus en plus vite , cadencé par nos égoïsmes, un monde déstabilisé où les enjeux stratégiques et les conflits régionaux se multiplient, un monde dans lequel la guerre redevient un moyen ordinaire de dicter ses ambitions et de résoudre les crises.

Nous devons, nous alter mondialistes, rêver à haute voix, notamment comme aujourd’hui lors de notre grand rassemblement citoyen, pour proposer et mettre en place une ONU plus forte et respectée, car sinon, ce sera la loi de la jungle.

Sachez par exemple qu’avec le budget affecté à l’armement mondial sur un an, nous pourrions offrir à l’ensemble des Nations Unies tous les moyens nécessaires à toutes leurs actions souhaitées, partout dans le monde, durant les 70 prochaines années au bénéfice de milliards de vie !

http://www.legrandsoir.info/spip.php?article1130

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Message  Samira Lala. Mar 24 Mar - 19:06

« Les États Membres de l’Organisation des Nations Unies ont créé avec la Commission une importante structure chargée d’aider des sociétés fragiles à se relever de conflits dévastateurs. »
M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU, 27 juin 2007

La Commission de consolidation de la paix (CCP), nouvel organe consultatif intergouvernemental de l’ONU qui appuie les efforts de paix dans les pays sortant d’un conflit, est un ajout crucial à la capacité de la communauté internationale dans le vaste agenda de la paix.

La Commission de consolidation de la paix joue un rôle unique pour:

Rassembler tous les acteurs concernés, dont les donateurs internationaux, les institutions financières internationales, les gouvernements et les pays qui fournissent des contingents; Mobiliser des ressources, et
Fournir des avis et proposer des stratégies intégrées aux fins de la consolidation de la paix et du redressement après les conflits et, s’il y a lieu, mettre en évidence toutes déficiences qui risquent de compromettre la paix.
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Message  laétitia Mar 24 Mar - 19:17

Objectifs [modifier]
Là où la Société des Nations n'était qu'un espace de dialogue où les diplomates pouvaient se rencontrer pour établir des consensus, l'ONU peut, avec le Conseil de sécurité, prendre des décisions concrètes. Celles-ci peuvent déboucher, par exemple, sur l'autorisation d'employer une force armée - les fameux « casques bleus » - pour maintenir ou rétablir la paix.


Dans ses opérations internationales, l'ONU utilise l'abréviation anglaise (UN) comme sigle distinctifEn vertu de sa charte, l'ONU s'efforce donc d'être un lieu où se bâtit un avenir meilleur pour tous, et cela à travers cinq objectifs :

Maintenir la paix et la sécurité dans le monde, notamment en surveillant l'intangibilité des frontières.;
Développer les relations amicales entre les nations ;
Réaliser la coopération internationale sur tous les sujets où elle peut être utile ;
Être un centre où s'harmonisent les efforts des nations dans des objectifs communs ;
protéger et restaurer la nature, en tant que ressource nécessaire à la survie et au développement durable et harmonieux de l'humanité, comme le stipule la Charte mondiale de la nature de 1982 et les sommets de la terre réunis dix et vingt ans plus tard (Sommet de la Terre 1992 à Rio puis Sommet de la Terre 2002 à Johannesburg). Cette charte reconnait les générations futures et leurs besoins environnementaux, et a une exigence de restaurer l'environnement dégradé (à la hauteur de ses potentialités naturelles)[2].
L'ONU n'est pas un gouvernement mondial et ne légifère donc pas. Cependant, ses résolutions donnent une légitimité aux interventions des États et sont de plus en plus appliquées dans le droit national et international. Toutes ces actions se pérennisent au travers de la signature de traités ou conventions internationales entre les nations.

Les principaux travaux et débats sont interprétés ou traduits par écrit dans les 6 langues officielles de l'ONU : anglais, arabe, chinois, espagnol, français, russe, mais seuls l'anglais et le français sont les langues de travail du siège new-yorkais.




Financement [modifier]
Le financement de l'organisation des Nations unies et de ses agences spécialisées est assuré par les contributions obligatoires des pays membres et par des contributions volontaires de toutes organisations, entreprises ou encore particuliers (Ted Turner a par exemple fait un don de 1 milliard de dollars US).

Le budget ordinaire des Nations unies ( ~ 2 milliards de dollars en 2005), établi tous les deux ans, est basé sur les contributions obligatoires fixées par l'Assemblée générale. Pour des raisons d'indépendance, le niveau maximum de la plus grosse contribution a été fixé à 22 % (le seuil minimal est quant à lui de 0,01 % du budget global.

En 2005, la composition était la suivante : États-Unis (22 %)[4], le Japon (19,5 %), l'Allemagne (8,6 %), la France (6,5 %), le Royaume-Uni (6,1 %), l'Italie (4,9 %), le Canada (2,8 %), l'Espagne (2,5 %), la République populaire de Chine (2 %), la Corée du Sud (1,8 %).

Les contributions obligatoires ne sont pas toujours remplies à temps par les États membres. Seuls 31 États sur 192 l'ont fait en février 2007[5]. L'ONU étant de plus en plus souvent engagée dans des opérations de maintien de la paix dans le monde (objectifs qui n'étaient pas formellement prévus dans sa Charte), cela a un impact important sur son budget en raison du coût élevé de ces interventions. Le résultat est que les Nations unies ont une dette de plus de 2,5 milliards de dollars américains. Pour résoudre ce problème récurrent, de nombreux États souhaitent une réforme en profondeur des Nations unies de manière à réduire la lourdeur bureaucratique de l'Organisation.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_des_Nations_unies#Financement

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Message  laétitia Mar 24 Mar - 19:21

Le maintien de la paix dans le monde : le but premier des Nations unies

L’ONU est en effet chargée d’assurer la paix, la liberté et le développement. Mais d’un point de vue humaniste et dans le contexte de l’après-guerre mondiale, c’est bien entendu la paix qui est au cœur du rôle de l’organisation.

En son sein, c’est le Conseil de sécurité qui a la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationale. Il intervient de plusieurs façons :

En tant que médiateur entre les membres des Nations unies qui se sont engagés, en signant la Charte des Nations unies, à régler leurs différends par des moyens pacifiques.

Il peut constater ou décider qu’une situation est susceptible de déstabiliser la paix dans une région ou dans le monde ; et donc intervenir.

Son intervention peut prendre plusieurs formes, soit en recourant à des mesures non-militaires (embargo, sanctions économiques), soit militaires (si les premières mesures se sont avérées inefficaces).

La Charte prévoyait au départ la mise en place d’une force militaire propre à l’Organisation. Mais ceci ne fut pas appliqué. Ce sont finalement les Etats membres qui fournissent des soldats lorsque l’ONU décide d’une intervention armée. Ces soldats, agissant sous mandat de l’ONU, ne sont alors pas des casques bleus s’il s’agit de combattre (comme en Irak en 1990/1991), mais ils peuvent être des casques bleus s’il s’agit pour eux d’être une force d’interposition entre belligérants ou de contribuer à l’aide humanitaire.

http://www.lyc-7mares-maurepas.ac-versailles.fr/spip.php?article371

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Message  laétitia Mar 24 Mar - 19:26

Missions de maintien de la paix: l'ONU ne peut pas faire plus

Selon le secrétaire général adjoint de l'Onu chargé des opérations de maintien de la paix, Alain le Roy, les 18 missions de maintien de la paix des Nations unies sont à la limites de ce que l'institution internationale peut supporter. En ce moment, 113.000 soldats, policiers et observateurs travaillent pour le compte de l'Onu à travers le monde. Alain le Roy a mis en garde contre l'échec des missions de paix les plus importantes, évoquant en particulier l'engagement des Nations Unies en RDC et au Darfour.



http://www.dw-world.de/dw/function/0,,82231_cid_3972379,00.html

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Message  Samira Lala. Mar 24 Mar - 19:29

Les Etats-Unis et l'ONU.

"Car c'est le mépris et non le respect qui inspire la démarche. La Maison-Blanche siffle l'ONU comme on siffle un toutou docile."

"Ainsi se referme le cercle vicieux qui emprisonne l'ONU. Les États-Unis lui refusent et lui refuseront toujours l'autonomie et elle ne sera accueillie en amie que si elle démontre fermement cette souhaitable autonomie."

"L'ONU ne peut donc se bercer d'illusions. Jamais elle ne pourra s'interposer entre les « marines » à la gachette nerveuse et ceux qu'on dénomme les insurgés. Jamais elle ne pourra empêcher les conglomérats étatsuniens de disposer des richesses naturelles de l'Irak. Jamais l'ONU ne pourra aider Bagdad à définir une diplomatie proprement irakienne et à rétablir les ponts avec les capitales de son choix. Jamais l'ONU ne pourra enclencher un processus électoral digne de ce nom. Il est patent, en effet, que les États-Unis ne se plieront au résultat des urnes que s'ils ont pu le téléguider. Jamais l'ONU ne pourra gérer l'éventuel budget irakien selon les besoins en éducation et en santé; les infrastructures requises par l'armée d'occupation saigneront à blanc l'ensemble des ressources fiscales."

Critique du contrôle des Etats-Unis sur l'ONU. Source : http://www.cyberie.qc.ca/dixit/20040422.html
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Message  laétitia Mar 24 Mar - 19:32

Avec les Etats-Unis à leur tête, les gros bailleurs de fonds ont insisté pour que le reste des fonds ne soit débloqué que quand des progrès sensibles auraient été accomplis dans la réforme de l'ONU. L'échéance approche à grands pas et il n'est pas du tout sûr que les États en question jugeront les progrès suffisants. Personne, ni dans un camp, ni dans l'autre, n'a trouvé le moyen de susciter un dialogue constructif sur la suite de la réforme », avait-t-il estimé.

« Les États-Unis essaient de tirer sur les cordons de la bourse pour imposer une réforme de la gestion réellement nécessaire et les pays en développement se rebiffent face à ce procédé », avait-il poursuivi.

http://www.unictunis.org.tn/onu-usa.htm

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Sujet de Coraline, Laétita & Samira n°2. Empty Discours du ministre assistant chinois des affaires étrangères Sheng Guofang

Message  laétitia Mar 7 Avr - 18:10

Mesdames et Messieurs,

Comme l'ONU a été fondée sur la ruine de la Seconde Guerre Mondiale, il lui faut se fixer le maintien de la paix du monde pour sa mission primordiale et la sécurité collective pour sa conception principale. Depuis presque 60 ans, l'ONU a connu des vicissitudes, a apporté une contribution remarquable au maintien de la paix et de la sécurité du monde. Dans ce domaine, la contribution est surtout négligeable pour les 59 actions de maintien de paix menées par l'ONU, y compris les organisations de surveillance de trêve, la mission spéciale pour la stabilité en Haïti.

Les actions de maintien de paix ont été mises sur pied progressivement par l'ONU à travers les pratiques devant une série de menaces. Ces actions, bien que non inscrites dans la « Charte de l'ONU», se conforment aux objectif et principe de la Charte, sont déjà devenues l'une des manières les plus efficaces dont le multilatéralisme se pratique et la sécurité collective se réalise dans les domaines de la paix et de la sécurité internationale. Pour millions de personnes qui souffrent beaucoup des confrontations, le "casque bleu" est le symbole de la paix, répond quelquefois à l'attente la plus urgente. Par rapport à la perte au montant de plus d'une centaine de milliards de dollars américains causée par les confrontations, le financement pour les actions de maintien de paix reste moindre mais produit un dividende de paix considérable. Il importe beaucoup de renforcer davantage les actions de maintien de paix de l'ONU.

Actuellement, les actions de maintien de paix de l'ONU se trouvent vraiment devant une nouvelle situation et de nouveaux défis, et je suis d'avis qu'ils résultent notamment de deux groupes de contradictions suivants :

1. Contradiction entre l'attente et la réalité : L'ONU entreprend en cours 16 misions de maintien de paix avec plus de 70000 personnes au total, prévoit à cet effet un budget égal à 4 milliards de dollars américains pour l'année courante, doit de nouvelles missions de plus en plus nombreuses du genre, et toutes les parties sont de plus en plus exigeantes en la matière. Cela prouve que, d'une part, les actions de maintien de paix de l'ONU ont réussi, d'autre part, les manques de personnel et de fonds etc se sont accentués dans ce domaine. On dirait que l'ONU n'en peut plus et ne peut plus réagir rapidement pour ses actions de maintien de paix. C'est exagéré, mais cela attire notre attention.

http://dz.china-embassy.org/fra/xw/t169232.htm

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Message  Coraline.H Mar 7 Avr - 18:19

1)L’ingérence humanitaire (Marcel Guérin)

Actuellement, le "droit d’ingérence" est une fiction juridique. La Charte des Nations Unies proclame le principe de non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats, qui toutefois s’efface devant celui de la coercition exercée "en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix ou d’acte d’agression" -formulation qui laisse une large latitude d’interprétation.

Il y a eu jusqu’à présent deux types d’interventions. La première -l’envoi de Casques bleus pour faire respecter un cessez-le-feu, assurer la liberté d’élections, etc.- est caractérisée par la disproportion entre les objectifs et les moyens. La seconde a consisté à autoriser des Etats (notamment les Etats-Unis)à faire la guerre au nom des Nations Unies - procédure ne figurant pas dans la Charte.

Les articles 43 à 47 de la Charte prévoient une autre méthode : établissement d’"accords spéciaux" suivant lesquels des Etats mettent à disposition des forces armées, des facilités, etc. ; constitution d’un Comité d’état-major chargé de conseiller et d’assister le Conseil de sécurité. Du fait de la guerre froide, ce système n’a jamais été appliqué.

2)A la recherche d’une autre ONU (Bernard Ravenel)

L’enjeu de la guerre et de la paix dans le monde a suscité un sérieux contentieux entre l’ONU et les Etats-Unis. La guerre du Golfe a illustré la nécessité de réformer l’ONU, "transformée en simple dépendance des Etats-Unis", et le conflit en ex-Yougoslavie a montré le besoin d’autres moyens et d’une autre volonté politique. A cela s’ajoute la nécessité d’une clarification des principes et procédures pour les interventions impliquant l’usage de la force.

Dans le cas de la guerre du Golfe, ce qui pose problème est la fameuse résolution 688 du Conseil de sécurité autorisant le recours à "tous les moyens" pour obtenir la libération du Koweït. En effet la Charte des Nations Unies prévoit l’usage de la force, mais uniquement sous le commandement du Conseil de sécurité, donc non délégable aux Etats. Ce choix, contraire à la sécurité internationale, "délégitime" l’ONU.

Dans son rapport "Agenda pour la paix", Boutros Boutros-Ghali recommande l’application de l’article 43 de la Charte. Certaines tâches nécessiteraient des "unités d’imposition de la paix", plus lourdement armées que les actuels Casques bleus. L’ONU devrait en outre pouvoir s’appuyer sur des services de renseignements et pouvoir ainsi appliquer une diplomatie préventive.

De son côté, Bill Clinton a annoncé que serait demandé l’élargissement du Conseil de sécurité à l’Allemagne et au Japon : aux pays riches du Nord de dessiner le "Nouvel ordre mondial" à leur convenance... A l’exemple du contrôle des zones d’interdiction de survol en ex-Yougoslavie, l’évolution actuelle est en train de faire de l’OTAN (et donc des Etats-Unis)un bras armé de l’ONU.

Comment démocratiser l’ONU ? Il faudrait l’ouvrir à la participation populaire, c’est-à-dire notamment aux organisations non gouvernementales (ONG). Le PNUD a proposé d’admettre six nouveaux membres permanents dans le Conseil de sécurité, choisis notamment en fonction de leur importance pour l’équilibre régional. Par ailleurs, la sécurité devrait être conçue non plus seulement du point de vue militaire, mais aussi économique, alimentaire, écologique. Il faut aussi renforcer la Cour internationale de justice, pour garantir les principes de la Charte avec force contraignante pour tous.

Cette démocratisation de l’ONU passe par de puissants mouvements démocratiques et de paix dans les sociétés "nationales". Il faut aboutir à la remise en cause du principe de souveraineté nationale et du monopole étatique de la force armée.

Réformer l’ONU : une utopie réaliste ?

3)L’ONU a-t-elle un avenir ? (Maurice Bertrand)

La dernière transformation en date de l’ONU consiste en l’augmentation, depuis 1987, des activités de maintien de la paix : leur part dans le budget est passée de 7,4 % en 1986 à 55 % en 1992. Ces opérations sont d’une complexité croissante, comme le démontre la mission APRONUC au Cambodge, comprenant, outre le volet militaire, la protection des droits de l’homme, l’organisation d’élections, la prise en charge partielle de l’administration civile...

Toutefois ces opérations ont en général connu l’échec. La place réelle de l’ONU actuellement est marginale (voir la guerre du Golfe)et a posteriori : le rôle du pompier arrivant après l’incendie. La philosophie de la Charte -maintien de l’ordre établi, verbalisme hypocrite sur les grands principes- n’est toujours pas remise en question. Les propositions de Boutros-Ghali font état d’une conception clairement répressive de la "sécurité collective" mise au service des puissances hégémoniques. Les Etats-Unis ne les acceptent pas, voulant garder leur entière liberté d’action.

Face aux menaces diverses (migrations massives, refuge dans des idéologies intolérantes...)que suscite la croissance de la pauvreté, des inégalités, etc., il faut une autre "sécurité collective", préventive et non répressive : il faut lancer de grands "plans Marshall" régionaux, contrôler les armements, etc. Le coût serait à prélever sur les budgets militaires. Mais les mentalités sont encore loin de pouvoir prendre un tel programme au sérieux.


http://base.d-p-h.info/fr/fiches/premierdph/fiche-premierdph-208.html
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Message  laétitia Mar 7 Avr - 18:27

Le maintien de la paix des Nations Unies donne-t-il des résultats ?

Le maintien de la paix des Nations Unies est tout à la fois efficace et économique en comparaison de ce que coûtent les conflits sur le plan financier ainsi qu’en termes de vies humaines et de dévastation économique. En tant qu’investissement, les opérations de maintien de la paix de l’ONU — par contraste à celles que mènent des coalitions ad hoc — ont l’avantage distinct d’être un mécanisme déjà établi de partage, au niveau mondial, des coûts financiers, matériels et de personnel, indiquent les recherches faites par Paul Collier et Anke Hoeffler de l’Université d’Oxford(1).

Les historiens ont noté une forte corrélation inverse entre le déploiement d’opérations de maintien de la paix et le nombre de victimes de la guerre, c’est-à-dire que plus il y a d’opérations de maintien de la paix, moins il y a de victimes de la guerre, à court et à long termes — indiquent deux études récentes distinctes du Centre pour la sécurité humaine de UBC(2) et de la Rand Corporation(3).

La Rand Corporation a examiné huit opérations de maintien de la paix terminées de l’ONU : au Congo belge, en Namibie, en El Salvador, au Cambodge, au Mozambique, en Slavonie orientale, en Sierra Leone et au Timor-Leste. Cette étude a conclu que deux tiers de ces opérations ont « réussi ». La Rand Corporation a également constaté que l’ONU constitue le cadre le plus adapté aux missions d’édification de la nation les plus importantes et les plus difficiles, en raison de ses structures aux coûts comparativement faibles, de son taux élevé de réussite et de sa grande légitimité internationale. Selon cette étude, le maintien de la paix de l’ONU est un moyen extrêmement efficace de remettre des sociétés sortant d’un conflit sur la voie d’une paix durable et d’un gouvernement démocratique, et constitue à ce jour la forme la plus efficace d’intervention internationale. Les alternatives à l’ONU dans ce domaine sont soit bien plus onéreuses, soit bien moins capables.

Une étude du Government Accountability Office des Etats-Unis a estimé qu’il en coûterait aux Etats-Unis deux fois plus qu’à l’ONU pour mener une opération de maintien de la paix similaire à la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) — 876 millions de dollars contre un budget de l’ONU de 428 millions de dollars pour les 14 premiers mois de la mission(4). D’autres avantages comparatifs des opérations de maintien de la paix de l’ONU cités par cette étude sont son caractère international, ce qui lui confère impartialité et légitimité; un personnel ayant l’expérience des opérations de maintien de la paix dans les situations d’après conflit, et une structure de coordination de l’assistance internationale.


http://www.un.org/french/peace/peace/faq/q3.htm

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Message  Coraline.H Mar 7 Avr - 18:29

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Message  laétitia Mar 7 Avr - 18:35

ONU : missions de paix
ANNÉE PRINCIPALES OPÉRATIONS DE MAINTIEN DE LA PAIX
1948- Organisme des Nations unies chargé de la surveillance de la trêve (Onust) en Palestine entre les pays arabes et le nouvel État d'Israël.
1949- Groupe d'observateurs militaires des Nations unies en Inde et au Pakistan (Unmogip) chargé de surveiller le cessez-le-feu entre les deux pays.
1958 Groupe d'observation des Nations unies au Liban (Gonul) chargé de surveiller pendant six mois les ingérences de la République arabe unie (État constitué par l'union de l'Égypte et de la Syrie).
1960-1964 Opération des Nations unies au Congo (Onuc) établie pour assurer le retrait des forces belges, rétablir l'ordre public et maintenir l'unité du pays (intervention contre la rébellion katangaise).
1963-1964 Mission d'observation des Nations unies au Yémen (Unyom) chargée d'observer et de garantir la mise en œuvre de l'accord de désengagement entre l'Arabie saoudite et la République arabe unie.
1964- Force des Nations unies chargée du maintien de la paix à Chypre (Unficyp) : surveillance des lignes de cessez-le-feu entre Chypriotes grecs et turcs et de la zone tampon (Ligne verte) dans Nicosie.
1973-1979 Deuxième force d'urgence des Nations unies (Funu II) déployée dans le Sinaï après la guerre du Kippour afin de superviser le cessez-le-feu entre les forces égyptiennes et israéliennes.
1974- Force des Nations unies chargée d'observer le dégagement (Fnuod) des forces israéliennes et syriennes des hauteurs du Golan.
1978- Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) déployée pour confirmer le retrait des forces israéliennes, rétablir la paix et la sécurité et aider le gouvernement libanais à restaurer sa souveraineté effective dans la région.
1988-1990 Mission de bons offices des Nations unies en Afghanistan et au Pakistan (Ungomap) chargée de surveiller l'application de l'accord de Genève du 14 avril 1988 sur le retrait soviétique.
1988-1991 Groupe d'observateurs militaires des Nations unies pour l'Iran et l'Irak (Gonmui) chargé de surveiller le cessez-le-feu entre les deux pays ainsi que le retrait de toutes les forces jusqu'aux frontières internationalement reconnues.
1989-1990 Groupe d'assistance des Nations unies pour la période de transition (Ganupt) chargé de maintenir l'ordre en Namibie pendant le retrait des troupes sud-africaines et d'assurer un scrutin libre lors de l'élection d'une Assemblée constituante.
1989-1997 Mission de vérification des Nations unies en Angola (Unavem) chargée de vérifier le retrait total des troupes cubaines (Unavem I), de surveiller les élections (Unavem II) et de veiller au respect de la trêve entre les forces gouvernementales angolaises et l'UNITA (Unavem III).
1991- Mission d'observation des Nations unies pour l'Irak et le Koweït (Monuik) chargée de prévenir les violations de la zone démilitarisée et la frontière récemment démarquée entre l'Irak et le Koweït. Suspendue en 2003.
1991-1995 Groupe d'observateurs des Nations unies au Salvador (Onusal) chargé d'assurer la paix civile et le respect des droits de l'homme et de surveiller les élections libres de 1992.
1991- Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara-Occidental (Minurso) chargée de veiller au cessez-le-feu entre l'armée marocaine et le front Polisario et d'organiser un référendum qui permettrait aux habitants du Sahara occidental habilités à voter de décider du statut futur du territoire.
1991-1994 Mission préparatoire des Nations unies au Cambodge (Miprenuc), puis Autorité provisoire des Nations unies au Cambodge (Apronuc) chargées de préparer et surveiller les élections libres de 1993 en assurant la paix civile, la reprise économique et le déminage.
1992-1994 Opération des Nations unies au Mozambique (Onumoz) chargée de surveiller le cessez-le-feu entre les forces gouvernementales et les opposants de la Renamo, ainsi que les élections libres de 1993.
1992-1995 Opération des Nations unies en Somalie (Onusom) chargée d'observer le cessez-le-feu entre parties somaliennes et assurer le convoyage, l'escorte, puis la distribution de l'aide humanitaire.
1992-1996 Force de protection des Nations unies (Forpronu) chargée d'assurer le maintien du cessez-le-feu entre forces croates et fédérales yougoslaves et de séparer les combattants.
1993-1994 Mission d'observation des Nations unies en Ouganda-Rwanda (Monuor) chargée d'observer la frontière entre l'Ouganda et le Rwanda et vérifier qu'aucune aide militaire ne parvienne au Rwanda.
1993-1998 Mission d'observation des Nations unies au Liberia (Monul) chargée de surveiller le cessez-le-feu, l'embargo sur les armes, la démobilisation et les violations du droit humanitaire.
1993- Mission d'observation des Nations unies en Géorgie (Monug) chargée d'observer le cessez-le-feu et la séparation entre troupes géorgiennes et rebelles abkhazes.
1993-1996 Mission des Nations unies pour l'assistance au Rwanda (Minuar) chargée à l'origine d'assurer le maintien de la paix entre les parties rwandaises, puis de contribuer à la sécurité et à la protection des personnes déplacées, des réfugiés et des civils en danger, et enfin de favoriser le retour des populations déplacées et de promouvoir la réconciliation nationale au Rwanda.
1994 Groupe d'observateurs des Nations unies dans la bande d'Aouzou (Gonuba) chargé de vérifier le départ de l'administration et des forces libyennes hors de la bande d'Aouzou, conformément à la décision de la Cour internationale de justice des Nations unies.
1994-2000 Mission d'observation des Nations unies au Tadjikistan (Monut) chargée de surveiller le cessez-le-feu et aider les parties tadjikes à négocier.
1995 Force de déploiement préventif des Nations unies (Fordeprenu) chargée de surveiller les frontières entre l’Ancienne République yougoslave de Macédoine (ARYM), la république fédérale de Yougoslavie (Serbie et Monténégro) et l'Albanie.
1995-2002 Mission des Nations unies en Bosnie-Herzégovine (Minubh) charger de surveiller la mise en œuvre des accords de Dayton, coordonner la mise en place des nouvelles institutions officielles fédérales de Bosnie, assurer la paix civile grâce à une unité de police internationale et coordonner l'action en matière de retour des réfugiés.
1996-2002 Mission d'observation des Nations unies à Prevlaka (Monup) chargée de surveiller le maintien de la démilitarisation de la péninsule de Prevlaka en Croatie et éviter une invasion étrangère de la zone.
1996-1998 Administration transitoire des Nations unies pour la Slavonie orientale, la Baranja et le Srem occidental (Atnuso) chargée de gouverner la région pendant une période de transition jusqu'en janvier 1998. De janvier à octobre 1998, le Groupe d'appui des Nations unies composé de contrôleurs de la police civile en Croatie veille au retour des réfugiés et au respect des accords de paix de Dayton.
1997 Mission de vérification des Nations unies au Guatemala (Minugua) chargée de vérifier le respect des dispositions de l'accord pour un cessez-le-feu définitif, signé par le gouvernement du Guatemala et l'Union révolutionnaire nationale guatémaltèque (UNRG).
1997-1999 Mission d'observation des Nations unies en Angola (Monua) chargée d'aider les parties angolaises à consolider la paix et la réconciliation nationales, renforcer la confiance et instaurer un climat propice à la stabilité, à l'évolution démocratique et au relèvement du pays.
1997-2000 Mission de police civile des Nations unies en Haïti (Miponuh) chargée d'aider le gouvernement haïtien en fournissant une assistance pour la professionnalisation de la police nationale haïtienne.
1999- Mission d'administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (Minuk) chargée de gouverner le territoire et la population du Kosovo afin d'aider à la reconstruction et au rétablissement des conditions de paix et de dialogue.
1999-2005 Mission des Nations unies en Sierra Leone (Minusil) chargée de surveiller l'exécution de l'accord de paix de Lomé signé entre les troupes gouvernementales et le Front révolutionnaire uni (RUF).
1999- Mission de l'Organisation des Nations unies en république démocratique du Congo (Monuc) chargée de maintenir une liaison sur le terrain avec les signataires de l'accord de cessez-le-feu de Lusaka (juillet 1999).
1999-2002 Administration transitoire des Nations unies au Timor-Oriental (Atnuto) chargée de superviser la réorganisation civile et politique du territoire et d'exercer les pouvoirs législatif et exécutif pendant la période de transition.
2000- Mission des Nations unies en Éthiopie et en Érythrée (Minuee) chargée de surveiller le respect de la trêve établie au mois de juin 2000 entre les deux pays après deux ans de conflit.
2003- Mission des Nations unies au Liberia (Minul) chargée notamment de vérifier la mise en œuvre de l'accord de paix signé entre les parties libériennes en août 2003 et d'appuyer les activités humanitaires et l’effort de réforme de la sécurité nationale.
2004- Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) chargée de faciliter la mise en œuvre par les parties ivoiriennes des accords de paix de Linas-Marcoussis, signés en janvier 2003.
2004- Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah) à la suite du renversement du président Aristide en février 2004.
2004- Opération des Nations unies au Burundi (Onub) chargée de soutenir le processus de paix et de réconciliation nationale, conformément à l’accord d’Arusha signé en août 2000.
2005- Mission des Nations unies au Soudan (Minus) chargée d'appuyer la mise en œuvre de l'accord de paix signé en janvier 2005 entre le gouvernement du Soudan et l'Armée populaire de libération du Soudan (APLS).


http://fr.encarta.msn.com/media_121634656_761564986_-1_1/ONU%C2%A0_missions_de_paix.html

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Message  Samira Lala. Mar 7 Avr - 18:35

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Sujet de Coraline, Laétita & Samira n°2. Empty Force de maintien de la paix de l'Organisation des Nations unies

Message  laétitia Mar 5 Mai - 17:51

La Force de maintien de la paix de l'Organisation des Nations unies (couramment Casques bleus en référence à la couleur bleue de leur casque) est une force militaire ayant pour rôle le « maintien ou [le] rétablissement de la paix et de la sécurité internationale »[1], sur ordre du Conseil de sécurité des Nations unies. Ainsi, elle a été envoyée dans plusieurs zones de conflits pour protéger la population civile ou encore servir de force d'interposition.

Cette force ne constitue pas une armée des Nations unies, les Casques bleus étant principalement des militaires prêtés par des pays membres de l'ONU et dans certains cas des civils œuvrant dans la police ou l'administration.

Dans certains cas, cette action de maintien de la paix peut être confiée à une organisation internationale non affiliée au système des Nations unies ou encore à une coalition d'États. Ainsi, le Conseil de sécurité a à plusieurs reprises donné mandat à l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) ou à la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) à travers l'Economic Community of West African States Cease-fire Monitoring Group (ECOMOG).

Rôles [modifier]
Les Casques bleus peuvent être chargés :

de surveiller l'application d'un cessez-le-feu,
de désarmer et de démobiliser les combattants,
de protéger les populations civiles,
de faire du maintien de l'ordre et de former une police locale,
de déminer.
Suivant le mandat donné par le Conseil de sécurité des Nations unies, ces rôles peuvent être combinés. Les Forces de maintien de la paix sont organisées depuis 1992 par le Département des opérations de maintien de la paix.

Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.
VAB à l'aéroport de Sarajevo en 1993
canon AUF1 au Liban
canon AUF1 au Liban



Origine [modifier]
La première force de maintien de la paix de l'ONU fut envoyée en 1948, avec pour mission de surveiller la trêve de la guerre arabo-israélienne. Cette force n'était pas armée et n'était là qu'en tant qu'observateur.

La première intervention armée eut lieu en 1956, lors de la crise du canal de Suez. Elle fut créée suite à une résolution présentée à l'Assemblée générale des Nations unies, par le ministre canadien des Affaires étrangères, Lester Bowles Pearson. Elle fut créée par l'Assemblée Générale en application de la Résolution "Union pour le maintient de la Paix", 377 (V) ou Résolution Acheson, en vertu de laquelle l'AGNU dispose d'une compétence subsidiaire de recommandation dans le domaine de la sécurité internationale, si le conseil constate son incapacité, notamment par une utilisation du véto d'un des membres permanents.


Évolution des trois principes régissant son intervention [modifier]

AML-90 francais durant les guerres yougoslavesLa mission de maintien de la paix était encadrée par trois règles auxquelles les États tenaient absolument et qui ont façonné sa définition classique :

le consentement des parties au conflit à l'intervention ;
l'impartialité des Casques bleus face aux forces en présence ;
la limitation de l'usage de la force par les Casques bleus à des fins de légitime défense uniquement. Il n'était pas question d'ouvrir le feu pour imposer la paix. À l'exception notable de la mission au Congo, en 1960-1964, où la force fut effectivement utilisée pour mettre fin à la sécession du Katanga, la notion classique du maintien de la paix a guidé la mise sur pied des missions de paix de l'ONU jusqu'au début des années 1990.
Cette doctrine a ensuite été revue, suite à plusieurs massacres, notamment au Rwanda et en Yougoslavie, commis sur la population civile alors que des Casques bleus étaient présents.

Depuis, la plupart des mandats autorisent l'usage de la force si la population civile est en danger.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Force_de_maintien_de_la_paix_des_Nations_unies

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Message  laétitia Mar 5 Mai - 18:01


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Message  laétitia Mar 5 Mai - 18:08


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Sujet de Coraline, Laétita & Samira n°2. Empty Pourquoi l'ONU ne peut-elle pas imposer la paix?

Message  laétitia Mar 5 Mai - 18:13

L'ONU n'a pas les moyens d'imposer la paix par la force. Ce n'est pas un gouvernement mondial. Elle ne dispose ni d'une armée permanente ni de matériel militaire. Ce n'est pas non plus une force internationale de police. Son efficacité dépend de la volonté politique de ses États Membres, et ce sont eux qui décident si l'Organisation prendra des mesures visant à mettre un terme aux conflits et qui déterminent la date d'intervention et les moyens à déployer.

C'est au Conseil de sécurité qu'incombe la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationales. Le Conseil peut exercer des pressions diplomatiques et politiques sur les belligérants ou offrir des moyens pour régler les différends, par exemple des missions d'établissement des faits ou de médiation. L'Assemblée générale a également la possibilité de faire peser le poids de l'opinion mondiale sur les combattants. Les efforts et les initiatives diplomatiques du Secrétaire général peuvent ouvrir la voie à des négociations, puis à un cessez-le-feu. Une fois la trêve établie, le Conseil de sécurité peut déployer une opération de maintien de la paix qui aidera les adversaires à mettre en oeuvre les accords conclus.

En cas d'échec de la persuasion, le Conseil de sécurité a la possibilité de recourir à des mesures plus vigoureuses, par exemple, en imposant des sanctions économiques ou en décrétant un embargo sur le commerce. Il peut créer des tribunaux internationaux pour juger les personnes accusées de crimes de guerre, comme pour le Rwanda et l'ex-Yougoslavie. Il a ainsi parfois autorisé les États Membres à utiliser « tous les moyens nécessaires », y compris la force, pour résoudre un conflit armé. De telles mesures de coercition - appliquées sous le contrôle des États participants - ont été adoptées pour rétablir la souveraineté du Koweït en 1991, restaurer le gouvernement légitime d'Haïti en 1994, rétablir la paix et la sécurité en République centrafricaine en 1997 et mettre fin à une campagne de violence au Timor oriental déclenchée en 1999 à la suite d'un référendum sur l'autodétermination.

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Qu'est-ce qu'une opération de maintien de la paix?
Les opérations de maintien de la paix de l'ONU sont une véritable entreprise internationale. Le personnel qui y participe - soldats, police civile, experts électoraux, démineurs, observateurs des droits de l'homme, spécialiste des affaires civiles et des communications - provient d'un grand nombre de pays.

Les opérations sont décidées par le Conseil de sécurité, dont chacun des cinq membres permanents (Chine, États-Unis d'Amérique, Fédération de Russie, France et Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord) a la possibilité de s'opposer à toute décision en exerçant son droit de veto. C'est en se fondant sur les recommandations, y compris les informations financières, fournies par le Secrétaire général que le Conseil détermine le mandat, les effectifs, la portée et la durée d'une opération, dont le budget est voté par l'Assemblée générale.

Le Conseil définit la mission des forces de maintien de la paix en tenant compte des besoins particuliers à chaque situation. Le personnel militaire peut être chargé de faire respecter le cessez-le-feu, d'établir une zone tampon, d'aider d'anciens adversaires à mettre en oeuvre un accord de paix, de protéger l'acheminement de l'aide humanitaire, de faciliter la démobilisation des combattants et leur retour à une vie normale, de mettre en place des programmes de déminage, de surveiller ou organiser des élections, de former la police civile et d'évaluer le respect des droits de l'homme. Il a été également demandé à des missions des Nations Unies d'assurer l'administration temporaire de certains territoires, comme au Timor oriental durant la période conduisant à son indépendance en 2002.

Les contingents affectés à une opération des Nations Unies sont généralement autorisés à porter des armes légères, dont ils se servent uniquement en cas de légitime défense ou lorsque des belligérants armés essaient de les empêcher d'accomplir leur mission. L'usage de la force par les soldats du maintien de la paix est rare et s'accompagne toujours de choix difficiles et de polémiques. L'« arme » la plus efficace du Casque bleu est le soutien de la communauté internationale.

Les opérations de maintien de la paix ne conviennent pas à toutes les situations ni ne remplacent d'autres formes d'action par la communauté internationale. Toutefois, lorsque la situation s'y prête et dans la mesure où elles sont dotées d'un mandat réaliste et de moyens suffisants et bénéficient du soutien de la communauté internationale et de la coopération des parties au conflit, les opérations de maintien de la paix contribuent efficacement au règlement des conflits et au maintien de la paix.

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Comment les opérations de maintien de la paix sont-elles financées?
Les opérations de maintien de la paix disposent de leur propre budget. Les quotes-parts à verser par les États sont déterminées séparément par l'Assemblée générale, suivant un barème spécial fondé sur celui qui s'applique au budget ordinaire. Ce barème prévoit des quotes-parts plus élevées pour les cinq membres permanents du Conseil de sécurité qui ont un droit de veto sur les décisions du Conseil et qui, comme l'a souligné l'Assemblée, ont des « responsabilités spéciales » à l'égard des opérations de maintien de la paix.

Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité (Chine, États-Unis d'Amérique, Fédération de Russie, France et Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord) étaient redevables d'environ 45 % du coût du maintien de la paix en 2005 (contre 57 % en 1992).

L’année financière des opérations de maintien de la paix s’écoule du 1er juillet au 30 juin.

Au 1er janvier 2007, les 10 principaux pays contributeurs aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies étaient : les États-Unis d’Amérique, le Japon, l'Allemagne, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, la France, l'Italie, la Chine, le Canada, l'Espagne et la République de Corée.

En tant qu' État Membre disposant du produit intérieur brut le plus élevé, les États-Unis devaient verser en 1996 une quote-part fixée à un peu moins de 31 % pour les dépenses de maintien de la paix. Ce chiffre atteignait 26,5 % en 2005.

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Les opérations de maintien de la paix sont-elles trop coûteuses?
Il convient de comparer les dépenses afférentes aux opérations de maintien de la paix et le coût énorme d'une guerre - aussi bien sur le plan financier que sur celui des souffrances de la population. Pour l'année fiscale 2005-2006, le coût annuel des opérations de maintien de la paix des Nations Unies s'élevait à 3,5 milliards de dollars, chiffre nettement au-dessous du 1% des dépenses militaires mondiales (plus d'un trillion de dollars par an) et inférieur au budget des transports de l'État de Virginie aux États-Unis (3,7 milliards de dollars pour l'année fiscale 2005). À titre de comparaison, le budget de la General Motors Corporation consacré à la publicité a atteint 4 milliards de dollars en 2004.

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Qui commande les opérations de maintien de la paix des Nations Unies?
C'est l'Organisation des Nations Unies qui contrôle les opérations puisque le maintien de la paix relève du Conseil de sécurité. Avec l'accord de celui-ci, le Secrétaire général nomme un chef de mission et un commandant de la force ou un chef des observateurs militaires. Le chef de mission fait rapport au Secrétaire général qui, à son tour, rend compte au Conseil de sécurité.

Les gouvernements décident eux-mêmes, au cas par cas, du personnel militaire et des policiers civils à affecter aux opérations de maintien de la paix. Chacun d'eux conserve l'autorité suprême sur son personnel. Les contingents nationaux sont placés sous les ordres de leur propre chef d'unité. Les soldats de chaque pays portent leur propre uniforme. Ils ne sont identifiés comme participants à une opération des Nations Unies que par un casque ou béret bleu et un insigne de l'ONU. Il n'y a pas de serment d'allégeance à l'Organisation des Nations Unies.

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Que fait l'ONU pour améliorer l'efficacité du maintien de la paix?
Les États Membres, les organisations régionales et le Secrétariat de l'ONU s'emploient à améliorer la capacité opérationnelle générale, les forces et moyens en attente, le soutien logistique et l'entraînement. En 2001, 91 États Membres se sont déclarés prêts à conclure avec l'ONU des arrangements relatifs aux forces en attente. Soixante-huit de ces États ont spécifié les ressources qu'ils pouvaient fournir s'ils décidaient de participer à une opération et 36 ont arrêté des arrangements concernant les forces en attente. Dans ce cadre, un groupe d'États Membres a mis en place une brigade d'intervention rapide des forces en attente des Nations Unies pour renforcer la capacité collective de leurs contingents dans un contexte de maintien de la paix.

Au Siège de l'ONU à New York, le Centre de situation assure la liaison 24 heures sur 24 avec toutes les opérations de maintien de la paix. À Brindisi (Italie), la Base de soutien logistique des Nations Unies permet de stocker dans de bonnes conditions les fournitures réutilisables, d'économiser sur les achats et d'accélérer le déploiement des nouvelles opérations.

Les États Membres s'emploient actuellement à créer une structure d'appui plus efficace pour les opérations de maintien de la paix en s'inspirant des recommandations du Groupe d'étude sur les opérations de paix des Nations Unies qui a publié son rapport en 2000.

http://www.un.org/french/geninfo/ir/02.html

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Message  Samira Lala. Mar 19 Mai - 18:22

L'ONU doit sortir des États-Unis


Sylvio Le Blanc - Les États-Unis sont pratiquement le seul pays au monde à dénigrer sans relâche l'Organisation des Nations unies et à lui mettre des bâtons dans les roues. Et la nomination du bouledogue Bolton comme ambassadeur n’a fait qu’empirer la situation.



Pourtant, au jour d’aujourd’hui, le siège principal de l'ONU se trouve toujours en sol hostile. C’est un non-sens. L’ONU devrait tout mettre en œuvre pour sortir des États-Unis. Ces derniers menaceraient de sortir, eux, de l'ONU? La belle affaire! Cet empire doit apprendre que les destins des 190 autres États membres valent bien le sien.


http://www.emarrakech.info/L-ONU-doit-sortir-des-Etats-Unis_a5810.html
Montréal, qui se trouve à quelque 600 kilomètres de New York, s’avérerait un bon choix pour accueillir l’illustre organisation, plus nécessaire que jamais. En considérant aussi que le Québec et le Canada, eux, ont à cœur les principes onusiens. Bref, l’ONU y serait traitée aux petits oignons.
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