* Sujet * de Raph & Mike.

Nous travaillons actuellement sur les associations qui aident les personnes en difficultées proche de l'adolescence.

Allons faire nos recherches !

J'ai trouvé 2 sites Mike :
http://www.legap.fr/Public/contenu.php?ID=%09%09%09%09%09%09%09%09%0984
http://www.lien-social.com/spip.php?article125&id_groupe=4
Dis moi ce que t'en pense

Ouais ils sont pas mal , maintenant il faut prendre les informations les plus importantes.

C'est à toi de trouver ces infos moi pour l'instant j'ai déjà tout fait

Valoriser et accompagner les jeunes en difficulté

Les jeunes des quartiers sont trop souvent réduits à leurs difficultés ou à leurs problèmes d’insertion, alors que certains ne demandent qu’à faire entendre et soutenir leur potentiel, en termes de projets, parfois sous forme de création d’entreprise. Quelques initiatives allant dans ce sens — dont celle initiée par le ministère de la Ville — mettent en lumière les richesses ainsi exploitables. Quel accompagnement pour ces entreprises de valorisation ?

Accueillir des jeunes, enfants, adolescents et jeunes adultes en difficulté.
Les associations partenaires du G.A.P. proposent des modes d’accueil très diversifiés qui répondent à des projets personnalisés, les "projets d'accueil individualisés". L’accueil d’un jeune est un acte significatif durant leur période d’enfance et d’adolescence Il nécessite un travail de préparation approfondi qui va bien au-delà de la recherche d’une place. Des périodes d’évaluation sont proposées pour une durée maximale de 6 à 8 semaines ; qui permettra l’élaboration du projet individualisé qui dans la majorité des cas ne débouche pas sur un séjour à long terme. (contact : les Service d’accueil et d’évaluation du Gîte et de l’AMELP).

http://fondation.airfrance.com/FR/fr/local/action/DomaineIntervention/n4_exemple_difficulte.htm

Association "Vers la vie pour l´éducation des jeunes" (France)

" Vers la Vie pour l´Education des Jeunes " (AVEEJ) est une ONG fondée en 1950, qui a pour but l´éducation, le soin, la formation et l´insertion des enfants, adolescents et adultes confrontés à des problèmes d´ordre psychologique, éducatif et social.

Le théâtre est souvent utilisé comme source d´enseignement, de culture, de création, de prévention et de diffusion. Les ateliers scolaires mais également les spectacles mis en place par les adolescents permettent la réalisation d´un DVD qui retrace l´ensemble des actions réalisées par les jeunes et valorise leurs images.

La Fondation soutient à hauteur de 20 500 euros les frais liés au stage de théâtre et à la réalisation du support vidéo. Ce projet est présenté par un agent Air France.

http://blog.lanouvellerepublique.fr/index.php?2006/06/30/150-grandes-causes-petites-associations

La SNCF n'a pas spécialement vocation à aider les jeunes en difficulté. Mais les halls et les abords des gares sont depuis des années des lieux d'"errance sociale". D'où l'idée au plan national d'ajouter à l'image de l'entreprise un volet "solidarité" envers cette jeunesse. Des comités régionaux ont été pourvus de budgets. Et c'est ainsi que celui de Tours vient de répartir 11.000 € entre sept associations d'Indre-et-Loire où des bénévoles travaillent à l'insertion par le sport, à la prévention du VIH et des MST, à la lutte contre l'alcoolisme des jeunes, à l'insertion des trisomiques, au parrainage des chercheurs d'emploi ou encore au port du casque en deux-roues.
D'autres entreprises ou organismes font des choses similaires. Dans les bons jours, on se dit que les petits ruisseaux font les grandes rivières. Les mauvais jours, que ces pansements sur des jambes de bois ne servent qu'à se donner bonne conscience, et ne remplaceront jamais les services publics dont ils tentent de combler les manques. Et vous, ça dépend des jours?

http://www.laval.maville.com/actualite/2008/10/07/andouille/jeunes-en-difficultes-l-association-felix-jean-marchais-evolue-07971645.html

L'association Félix-Jean Marchais, présidée par Guy-Michel Sizaret et installée rue Benoist abrite depuis 1994, un institut médico éducatif (IME). Pour s'adapter aux évolutions des besoins et aux demandes, l'IME se redéploie vers un institut thérapeutique éducatif et pédagogique à vocation professionnelle (Itep Pro).

Pour informer la population de ce changement, Guy-Michel Sizaret, Jean-Pierre Berçon, le directeur, son adjointe Céline Ménard et Christian Lebreton, chef du service éducatif, ont organisé une rencontre avec la commune.

http://www.portail-humanitaire.org/annuaire/infos/--jetac-asbl/

L'association "JETAC" vient en aide aux jeunes délinquants et aux jeunes de la rue en vue d'un reclassement social. Cela se fait par le contact et l'entretien. La finalité est la formation ou l'apprentissage d'un métier pour un avenir meilleur et digne.

http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article2194

L’idée de Ségolène Royal de confier les jeunes délinquants à un encadrement militaire n’est pas nouvelle. Sous le nom de JET (Jeunes en équipes de travail), la formule a même existé pendant dix-sept ans, jusqu’en 2003, avec un succès mitigé. Créés par la droite en 1986, maintenus par la gauche, les JET ont finalement été supprimés par Michèle Alliot-Marie. « Nous avons été victimes de deux très fortes oppositions : celle des éducateurs du ministère de la Justice, qui estimaient que ce n’était pas à des militaires de s’occuper de délinquants, et celle de l’armée de terre, qui pensait, elle aussi, que ce n’était pas son boulot », assure l’amiral Maurice Girard, dernier président de JET.

Continuons à chercher chez nous !

http://www.lyc-lisa.ac-poitiers.fr/journal/article.php3?id_article=96


Vols, rackets, trafics de stupéfiants et bien d’autres délits sont commis chaque jour et surtout par des jeunes. Pour prévenir cette délinquance beaucoup de monde se mobilise...

Dans les quartiers, tels que Ma Campagne à Angoulême ou le Champ de Manoeuvre à Soyaux la prévention est indispensable. Elle connait ses difficultés et ses limites, le bilan est variable.

La France privilégie la prévention plutôt que la répréssion :

Tout d’abord, il faut réaliser des diagnostics de sécurité à l’échelle de chaque quartiers afin de savoir la meilleure méthode pour prévenir la délinquance. Pour intervenir dans ce domaine, il existe des associations. Elle permettent d’aider les jeunes en évitant qu’ils deviennent délinquants. Par exemple le théâtre, il peut diminuer les tensions entre les jeunes qui amènent souvent, faute de mots à se transformer en passage à l’acte violent et donc délinquants.

La prévention de la délinquance intervient à tout moment dans la vie des jeunes. Les associations sont aussi aidées par les centres sociaux culturels, les maisons des jeunes et de la culture(MJC)ou d’autres associations telles que la Protection Judiciaire de la Jeunesse(PJJ) et l’APSA. Mais aussi par les administrations de l’Etat français. Par exemple après avoir constaté une recrudescence de mineurs délinquants entre 10 et 16 ans il a recentré la politique de la prévention de la jeunesse en combinant les logiques préventives, éducatives et répressives. La justice et les groupes éducatifs s’unissent pour être plus efficaces et créer un dispositif plus important.

L’Etat s’implique dans la prévention de la délinquance avec une politique éducatives ferme et constante sur la durée pour aider à long terme les jeunes. L’Etat multiplie toutefois lois et décrets.

La prévention de la délinquance passe aussi par les parents. Une aide et un soutien leur sont proposés pour les soutenir dans leur fonction parentale. Ils jouent un rôle très important.

Malgré de nombreux moyens pour prévenir la délinquance, il existe :

Des difficultés et des limites... Dans beaucoup de cas, les difficultés sont financiéres. Pour financer les différents systéme de prévention, il faut des moyens conséquents mais aussi pour rémunérer les éducateurs supplémentaires. Ensuite, il y a des difficultés au sein même des dispositifs. Par exemple des difficultés face au théâtre : il peut susciter des tensions. De plus la compréhension entre adultes et jeunes n’est pas toujours évidente ainsi que les attentes de chacun. La prévention a donc les limites qui ne peuvent être franchies.

Bilan face à le prévention : On remarque en général que l’activité de prévention contre la délinquance est de plus en plus importante et tient un rôle majeur pour l’avenir des jeunes. On y investit beaucoup plus de temps qu’il y a quelles années. Elle a des effets qui reste de toute façon incertains.

La prévention dde la délinquance dans les quartiers, une activité qui n’est pas récente mais toujours aussi difficile et peu sûr.

http://www.pol.fr/saisje/pjj.htm

La fonction traditionnelle de la PJJ(Protection Judiciaire de la Jeunesse), qui est l'une des directions déconcentrées du Ministère de la justice, est la prise en charge et l'accompagnement éducatif sur décision judiciaire des mineurs et jeunes majeurs

http://pagesperso-orange.fr/.bucress/edit%2031.pdf

PROJET DE LOI SUR LA PRÉVENTION DE LA DÉLINQUANCE
Le 17 mars 2004 devrait voir se développer un certain nombre de manifestations et d'actions de protestation contre
l'avant-projet de loi SARKOZY sur la prévention de la délinquance. L'inquiétude porte, bien entendu, sur le signalement aux
maires par les travailleurs sociaux d'informations sur les personnes en difficulté sociale ou en "risque de délinquance" les
désignant ainsi comme potentiellement dangereux pour la société.
Ces réactions ne traduisent pas un refus de travailler avec les élus, les policiers, mais bien une inquiétude sur la confusion
des places de chacun.
Le travail d'accompagnement et de prévention demande l'instauration d'une relation de confiance qui s'établit aussi sur la
confidentialité des échanges et la certitude que cette confidentialité ne sera pas remise en cause de manière unilatérale.
Cette relation s'établit dans le temps et ses résultats ne peuvent être mesurés souvent que bien longtemps après les premières
rencontres. Cette temporalité qui est celle du travail éducatif et social n’est pas la même pour l'élu ou pour le policier,
les objectifs assignés à chacun n’étant pas de même nature.

http://www.lien-social.com/spip.php?article638&id_groupe=1

Face à la délinquance, un engagement dans la prévention spécialisée est indispensable

La prévention spécialisée est aujourd’hui dans une situation difficile, pour au moins quatre raisons : la situation générale des quartiers d’habitat social classés « zones urbaines sensibles », la situation économique et sociale d’une partie de la jeunesse de ces quartiers (et l’enracinement d’une délinquance d’exclusion), l’évolution du métier d’éducateur et de ses conditions d’exercice, l’évolution politique et la mise en question de la philosophie même de la prévention et de l’action éducative. C’est autour de ces quatre enjeux ou de ces quatre séries de questions que s’articulent nos propos et que nous positionnons notre engagement dans le conseil d’administration d’un club de prévention spécialisée

http://www.lien-social.com/spip.php?article638&id_groupe=1

Au terme de plus de vingt ans d’études sociologiques sur les « banlieues » et de diagnostics liés à la politique de la Ville, la démonstration n’est plus à faire. Les « zones urbaines sensibles » concentrent les situations de précarité et les processus d’exclusion. La région parisienne les cumule et les vit souvent dans leur intensité maximale. La situation du secteur d’intervention de l’ACASA (association des centres d’aides et de secours à l’adolescence) en est une illustration.
Parlons clair et listons les problématiques les plus communes de ces territoires : familles nombreuses voire très nombreuses, logements exigus et quelquefois insalubres, précarité du statut juridique et difficultés d’adaptation pour certaines familles étrangères primo-arrivantes, handicaps objectifs de nombreux parents et de leurs enfants face à l’école, discriminations de toutes sortes subies en raison du lieu d’habitation, des pratiques culturelles (façons de se vêtir, de s’exprimer, de se comporter, de porter sur soi des « signes religieux », ne serait-ce que la barbe chez les hommes d’origine maghrébine) et parfois de la couleur de la peau, conditions économiques précaires et quelquefois miséreuses, relations ambivalentes avec les institutions (services sociaux, services administratifs municipaux et préfectoraux, écoles, forces de l’ordre) qui renvoient une image négative de soi (sentiments de dépendance, d’infériorité, voire de mépris, de suspicion et de violence) tant individuelle que collective, absence de représentation politique et de structuration politique au sens large (syndicale, associative), absence de mixité sociale, sentiment d’insécurité au sens le plus large (insécurité civile mais plus encore insécurité sociale), sentiment d’enfermement, d’abandon voire de rejet.
Il ne s’agit pas de verser dans le misérabilisme et de présenter ces populations comme dénuées de capacités d’action et d’évolution [1]. Il s’avère en effet que ces territoires contiennent des ressources liées à une forte conscience sociale des problématiques décrites plus haut. Une partie des habitants exprime une demande de coopération et un potentiel de mobilisation, certes peu visibles et explorés d’ordinaire par les partenaires institutionnels et les dispositifs de la politique de la Ville, mais qui se réalisent aussi bien dans des événements « négatifs » (rapports tendus avec la police, réactualisation de vieux contentieux avec des bandes de quartiers proches, etc.) que sous des formes plus positives (actions de solidarité et d’entraide, demandes auprès des adultes référents du quartier, volonté de s’en sortir, etc.). Le travail de consultation accompli à l’ACASA au cours de ces dernières années auprès d’une quinzaine de groupes représentant près de 300 jeunes du quartier qui ont élu des délégués se réunissant régulièrement dans notre local est un indice de ce potentiel et de l’importance du travail mené pour entendre et valoriser cette parole. Reste qu’il faut aussi dire les choses comme elles sont, sans jugement de valeur, dans la violence des constats. Car la situation ne s’arrange pas. Les comparaisons régulièrement effectuées à quelque dix ans d’écart à partir des données de l’INSEE montrent au contraire que le processus de ghettoïsation se poursuit, au carrefour de la crise du logement, des processus d’exclusion scolaire et du chômage de masse. L’évolution actuelle n’est pas bonne, le nombre de chômeurs et de Rmistes est en augmentation forte [2].
Ce contexte global pèse naturellement sur l’action éducative et sur les acteurs de la prévention comme sur tous les autres serviteurs de l’action publique. Mais il pèse d’une façon particulièrement lourde sur la prévention spécialisée parce qu’il accentue et dramatise la situation de la jeunesse qui constitue le public privilégié des éducateurs.

SYNTHESE

Sujet : Les associations qui aident les jeunes en difficultés proche de la déliquance.

En faisant nos recherches, nous avons trouvé plusieurs association qui ont aidés et aident toujours les adolescents en difficultés comme par exemple : les associations partenaires du G.A.P. qui accueillent les jeunes qui répondent à des projets personnalisés, les "projets d'accueil individualisés". Cette association permet aux jeunes de se lancer dans un projet plutôt que de traîner dehors par exemple.

Mais elle est loin d’être la seul, nous pouvons parler encore de l’association "Vers la vie pour l´éducation des jeunes». " Vers la Vie pour l´Education des Jeunes " (AVEEJ) est une ONG fondée en 1950, qui a pour but l´éducation, le soin, la formation et l´insertion des enfants, adolescents et adultes confrontés à des problèmes d´ordre psychologique, éducatif et social.
Pour parvenir à leurs objectifs ils utilisent divers moyens comme le théâtre qui est souvent utilisé comme source d’enseignement, de culture, de création, de prévention et de diffusion.

Vols, rackets, trafics de stupéfiants et bien d’autres délits sont commis chaque jour et surtout par des jeunes. Pour prévenir cette délinquance beaucoup de monde se mobilise...
Les églises, les mosquées, ou les synagogues, c'est-à-dire la religion en général, peuvent également aider les jeunes à sortir ou s’éloigner de la délinquance. Par exemple, Abd Al Malik était un ancien délinquant du quartier du Neuhof de Strasbourg. Après le divorce de ses parents il entre dans la délinquance. Il dit : “J’étais délinquant pas parce que j’étais méchant. Quand on est gamin, on a envie d’être accepté par le groupe. On n’a pas envie d’être rejeté”. Il multiplie donc les vols et les trafics illicites pour se faire intégrer. Cependant ce ne sont pas des associations qui l’ont aidé à sortir de la délinquance mais la religion et sa passion pour les lettres et la philosophie. En effet, il s’est converti à l’islam car il y voit une religion de tolérance et devient alors militant de la paix. Il commence à écrire des textes et devient rappeur. Aujourd’hui, il est inscrit au palmarès des victoires de la musique en 2007 et est décoré Chevalier des Arts et des Lettres par la ministre de la Culture en 2008.

La France privilégie la prévention plutôt que la répression :
Tout d’abord, il faut réaliser des diagnostics de sécurité à l’échelle de chaque quartiers afin de savoir la meilleure méthode pour prévenir la délinquance. Pour intervenir dans ce domaine, il existe des associations. Elles permettent d’aider les jeunes en évitant qu’ils deviennent délinquants.
La prévention de la délinquance intervient à tout moment dans la vie des jeunes. Les associations sont aussi aidées par les centres sociaux culturels, les maisons des jeunes et de la culture(MJC) ou d’autres associations telles que la Protection Judiciaire de la Jeunesse(PJJ) et l’APSA. Mais aussi par les administrations de l’Etat français. Par exemple après avoir constaté une recrudescence de mineurs délinquants entre 10 et 16 ans il a recentré la politique de la prévention de la jeunesse en combinant les logiques préventives, éducatives et répressives. La justice et les groupes éducatifs s’unissent pour être plus efficaces et créer un dispositif plus important.

L’Etat s’implique dans la prévention de la délinquance avec une politique éducative ferme et constante sur la durée pour aider à long terme les jeunes. L’Etat multiplie toutefois lois et décrets.
La prévention de la délinquance passe aussi par les parents. Une aide et un soutien leur sont proposés pour les soutenir dans leur fonction parentale. Ils jouent un rôle très important.

Malgré de nombreux moyens pour prévenir la délinquance, il existe :
Des difficultés et des limites... Dans beaucoup de cas, les difficultés sont financières. Pour financer le différent système de prévention, il faut des moyens conséquents mais aussi pour rémunérer les éducateurs supplémentaires. Ensuite, il y a des difficultés au sein même des dispositifs. Par exemple des difficultés face au théâtre : il peut susciter des tensions. De plus la compréhension entre adultes et jeunes n’est pas toujours évidente ainsi que les attentes de chacun. La prévention a donc les limites qui ne peuvent être franchies.

Bilan face à le prévention : On remarque en général que l’activité de prévention contre la délinquance est de plus en plus importante et tient un rôle majeur pour l’avenir des jeunes. On y investit beaucoup plus de temps qu’il y a quelles années. Elle a des effets qui reste de toute façon incertains. De plus certaines associations sont aidées par les centres sociaux culturels. Cependant certaines associations rencontrent des difficultés financière ou autre pour développer leur projet respectif et rémunérer les éducateurs supplémentaires.
La prévention de la délinquance dans les quartiers, une activité qui n’est pas récente mais toujours aussi difficile et peu sûr.